Skip navigation
Accueil Actualités

Une nouvelle gestion de l'éclairage pour accroître les économies d'énergie et le confort des utilisateurs

11.09.2024

Le Pôle des langues et civilisations, composé de l'INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) et de la BULAC (Bibliothèque universitaire des langues et civilisations) a ouvert ses portes en 2011 dans le 13ème arrondissement de Paris. Après plusieurs années d'exploitation, il s'est avéré que la gestion de l'éclairage n'était pas optimale et qu'il y avait une perte considérable d'énergie dans les sept amphithéâtres du bâtiment. Afin trouver une solution et ainsi répondre aux enjeux d'économies d'énergie et de confort des utilisateurs, l'INALCO, client de longue date chez Sonepar, a contacté Théophile LESEL, Chargé d'affaires Communication & Sécurité. Après une étude approfondie, il a proposé les solutions suivantes :

  • Pour les économies d'énergie : l'installation de détecteurs de présence en sortie de salle uniquement.
  • Pour le confort des professeurs : une nouvelle gestion de l'éclairage en local, avec la redéfinition de zones d'éclairage dans les amphithéâtres pouvant accueillir jusqu'à 300 personnes.

Quatre tableaux électriques existaient déjà dans l'université pour gérer les sept amphithéâtres. Les travaux ont nécessité l'intégration d'un automate dans l'un des tableaux, relié aux autres, pour permettre la nouvelle gestion de l'éclairage. Cette opération, suivie de l'installation des détecteurs de présence et des nouveaux interrupteurs, a été réalisée par un intégrateur système et un électricien, tous deux choisis par Théophile.

Sonepar a ainsi accompagné l'INALCO de manière complète : de l'étude du projet à sa mise en œuvre, en passant par le choix des prestataires adaptés.

Aujourd'hui, les amphithéâtres de l'INALCO sont dotés de :

  • Quatre zones d'éclairage distinctes, permettant aux professeurs d'adapter la lumière selon leurs besoins.
  • Un nouveau système d'interrupteurs pour une gestion locale de l'éclairage.
  • Des détecteurs de présence dans tous les amphithéâtres, éteignant automatiquement la lumière dix minutes après la fin d'un cours si aucun mouvement n'est détecté.

Enfin, l'automate installé dans le tableau électrique est un système évolutif. Si l'université souhaite un jour améliorer davantage son système d'éclairage, par exemple en intégrant des détecteurs de présence et en adaptant le fonctionnement des huit centrales de traitement d'air à l'occupation réelle des amphithéâtres, cela sera possible sans nécessiter une nouvelle installation complète. Il suffira d'ajouter un module de variation et de faire appel à l'intégrateur pour actualiser le programme de l'automate. 

Nous remercions vivement l'INALCO pour sa confiance !